07 juin 2022

Barreuse de feu

Couper, barrer, conjurer le feu ....

Le terme est à la mode et la fonction prolifère.
J'ai découvert et acheté ce livre sur internet et j'ai commencé à la lire.
Bonne impression en première approche : Jean-Luc CARADEAU journaliste spécialisé dans l'ésotérisme me parait très objectif.




Évidemment en 2022 l'expression fait sourire, fait soupirer et rebute les personnes qio ont les deux pieds bien posés sur terre.

Une brûlure est une brûlure : si celle-ci est grave ou étendue, il est indispensable de passer par la case urgence médicale ou même Samu, avant d'avoir recours au coupeur de feu. 

Mais il y a le temps de l'après urgence vitale avec parfois une douleur lancinante et permanente qui perdure prend toute la place dans la vie au quotidien de la victime.

Le domaine d'action du barreur ou de la barreuse de feu ne se limite pas aux aux brûlures accidentelles : les brûlures de radiothérapie dans les cas de cancers et les irritations cutanées type prurit, eczéma ou psoriasis font partie du lot, ainsi que les irritations fessières du tout-petit et les "rushes" allergiques. La liste n'est pas exhaustive.  

Le barreur de feu serait-il un taumaturge moderne ?

Il y a bien-sûr dans le lot les charlatans purs et durs (ce ne sont pas toujours les moins efficaces selon l'auteur du livre qui cite le cas Marcel), il y a aussi les illuminés qui se croient investis d'une mission sur terre via la réception de "messages divins", il y a des altruites qui pensent avoir un rôle à jouer, bénévolement (ou pas du tout à recevoir un petit quelque chose quand même) et puis il y a des retraités qui cherchent à meubler leurs loisirs...

Je suis cynique mais dans le domaine de la thérapie, non seulement je ne crois pas au bénévolat, mais je pense que la gratuité masque des intentions qui ne sont pas toujours très nettes. 

Il existe aussi de vrais bon-samaritains qui interviennent en urgence sur le terrain en face du regard des autres qui restent prudemment à distance pour faire des photos, car le rôle de voyeur leur convient bien. 

Mais mon propos n'est pas de m'interroger sur la légitimité de l'intervenant ni sur ses états d'âme. 

La réalité, du moins la mienne, c'est d'avoir constaté de nombreuses fois, toutes causes et origine du problème confondues, la disparition durable des sympômes douloureux après l'intervention d'une barreuse de feu que je connais très bien.

Et d'autres que moi ont aussi constaté avec sérieux et objectivité, des réussites avec d'autres intervenants.

Miracle ?

Le mot vient très vite aux lèvres, mais ne tombons pas dans la facilité mentale ni dans une crédulité rassurante.
Sérieusement, en face de certaines "guérisons" suprenantes et hors des normes habituelles, n'invoquons pas pour clore hâtivement le débat, une intervention 
discrétionnaire divine.
Ne crions pas au miracle : ce n'est pas une divinité hypothétique qui supprime la douleur mais une femme ou un homme qui intervient avec un certain savoir-faire humain. 
Beaucoup de domaines restent encore à explorer ! 



A suivre !  



 
 





 

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